Le sentier de l’Aigle

Quand l’été fut terminé,

Et que le soleil alla se coucher,

Le confinement fut oublié.

Je suis allé me promener sur mon sentier,

Il n’a pas l’air abandonné.

Heureusement que l’Aigle n’a bougé.

Le panorama est idéal,

Quel régal.

On entend les cigales siffler,

Mais pas de perroquet.

Les bois n’ont pas été dépouillés.

Louison VOUHE-DUMAS, 10 ans